Cabinet de Thérapie Craniosacrale

Liebscher & Bracht

La thérapie anti-douleurs L&B selon Liebscher & Bracht:

  • Aide dans 90 % des cas d’états douloureux
  • Agit sans médicaments et sans opération
  • Traitement anti-douleur tout à fait naturel et causal
  • Soigne même les douleurs chroniques
  • Agit même s’il existe déjà de l’arthrose ou des hernies
  • Help yourself ! Après le traitement vous recevez un programme d’entrainement à suivre chez vous.

Comment fonctionne la Thérapie Liebscher & Bracht ?

La Thérapie de la douleur selon Liebscher & Bracht est une méthode thérapeutique manuelle indépendante basée sur les découvertes de Roland Liebscher-Bracht et de son épouse le Dr Petra Bracht. Elle attribue la plupart des douleurs aux muscles et aux fascias trop étirés causés par un manque de mouvement ou des mouvements unilatéraux.

La thérapie intervient à partir de cette cause et réduit les surtensions dans quelques traitements.

Sans douleur, sans chirurgie et sans médicaments !

La thérapie selon Liebscher & Bracht n’est pas prise en charge par les caisses d’assurance maladie.

Procédé de traitement

1. Anamnèse – dialogue

Votre histoire : De quelle douleur souffrez-vous ? Quelle douleur vous tourmente le plus ? Dans quelle position ou à quelle charge le ressentez-vous le plus clairement ? Nous définissons cet état de douleur comme 100%.

2. Ostéopression = travail de la thérapeute

Les causes de nombreuses douleurs sont des états musculaires mal programmés dus à une manque de mouvement ainsi qu’à des mouvements unilatéraux. Cette information mal programmée sert la musculature comme „la nouvelle vérité“ et est ainsi enregistrée. L’ostéopression effectuée sur l’os efface les états musculaires mal programmés et les tensions pour permettre la reprogrammation.

S’il s’agit d’une douleur musculo-fasciale, la douleur est souvent considérablement réduite dès le 1er traitement. Souvent, seuls 3 à 5 traitements sont nécessaires pour éliminer la douleur.

3. Exercise de stretching et massage fasciaux = travail du patient

Les exercise de stretching et les massages fasciaux au rouleau qui correspondent à l’état de douleur sont pratiqués ensemble avec moi dans mon cabinet.

Pour que l’effet soit durable, ces exercices doivent être effectués régulièrement à la maison. De cette façon, le thérapeute donne au client une responsabilité personnelle.

Comment la douleur se développe-t-elle selon Liebscher & Bracht ?

Le système de mouvement de notre corps nous permet naturellement d’utiliser 100 % de nos angles articulaires. Cependant, la plupart des gens n’en utilisent qu’environ 10 % dans leur vie quotidienne ! Ceci est principalement dû au fait que les environnements de vie et de travail modernes sont fortement caractérisés par des activités assises ou routinières et unilatérales.

Chaque fois qu’une articulation est étirée ou fléchie, les parties musculaires et le fascia environnant se contractent (agoniste), tandis que d’autres cèdent et sont étirés (antagoniste). Cependant, si nous n’utilisons qu’environ 10 % de l’amplitude des mouvements de notre corps, nos muscles et nos fascias ne seront plus complètement étirés de façon régulière et deviendront de plus en plus rigides et courts avec le temps. Pour compenser ce raccourcissement, le corps accumule une contre-tension qui dépasse le niveau normal. Cette tension musculo-fasciale excessive fait que les surfaces articulaires et les corps vertébraux s’appuient si fortement les uns contre les autres que l’usure du cartilage, des disques intervertébraux et des os se produit. Il y a des récepteurs partout dans les tissus du corps qui mesurent les contraintes de traction et de compression et les vitesses et les transmettent au cerveau. Si le cerveau utilise cette information pour calculer une usure des articulations ou de la colonne vertébrale qui est supérieure à la capacité de réparation du corps, le cerveau active une douleur dans la région correspondante du corps pour empêcher le mouvement nuisible. La personne atteinte est ainsi informée de la menace d’arthrose ou de lésions des disques intervertébraux – la douleur l’alerte, pour ainsi dire. Liebscher & Bracht qualifient donc cette douleur de „douleur d’alarme“. Notre corps nous avertit donc de ne pas continuer comme avant afin d’arrêter l’usure de la structure.

La constatation la plus importante est que la douleur existe généralement indépendamment du dommage et qu’elle peut donc être „arrêtée“ malgré le dommage.